Vigneron en Biodynamie et qui vinifi en Nature
Label Bio Suisse 2018
Voilà une année que ce jeune vigneron réalise son rêve de gosse. Après avoir quitté sa zone de confort sur Genève il se défit lui-même de réussir ce projet fou : reprendre des hectares de vignes en Valais pour produire un vin naturel, en biodynamie et les encaver.
La force et l’envie sont encrées, c’est une évidence, qu’importe les vents tel un aventurier de la vie.
Alors si le combat n’est pas simple, il se bâti finalement pierre par pierre à la sueur d’une volonté de fer.
Et c’est sans compter sur la réactivité des réseaux sociaux que vous pouvez suivre, vous l’aurez compris au gré de ses envies et sans état d’âmes les multiples activités afin de découvrir l’évolution de ce domaine en pleine ébullition.
« La vigne me rend ce pourquoi j’ai travaillé » peut aujourd’hui se réjouir Julien Guillon. C’est en effet une histoire entre l’humain et la nature.
Traiter naturellement une parcelle seulement s’il y en a besoin, comme dans une relation de confiance. Prendre le temps de faire le tri dans ses vignes sans relâche. Choisir des plantes pour soigner, telle la valériane pour se protéger de dame nature parfois glaciale.
Dans son domaine, il jardine ses vignes. Il travail ses vignes en biodynamie ainsi avec d’autre recettes d’ancien ou d’autre chose de sorcier. Il bénéficiera en 2018 le label Bourgeon dit Bio-Suisse pour rassurer certain consommateur.
Etre à l’affut au quotidien de la météo par tous les moyens.
Finalement pour ce vigneron, La conviction est d’être juste à l’écoute de ses vignes en leur parlant et en observant bcp mère nature et son allier la Lune.
C’est au rythme du temps que la récolte, se fera.
Pourtant contre toute attente on peut déjà sentir à la dégustation une sensation de vieille vigne. Un premier millésime d’une rareté absolue dans sa durée de vinification. Son entourage professionnel s’en surprend également.
Même si Julien est bien dans son élément en pleine nature, grâce à ses contacts, ses nectars devraient voyager loin sur le globe.
On notera que tout est prévu dans « le partage de son vin » comme il aime à prononcer.
Quatre cuvées, des noms inspirés de sa vie, de ses expériences aussi.
Une fourchette de prix bien pensée : de 20.- à 39.-pour toutes les saveurs dans l’objectif de ne pas se fermer à une seule clientèle, l’année prochaine il y aura des cuvées dit négoce.
A ce jour la patience est encore le maître mot afin de dévoiler tous ses trésors, on parle même d’un nouveau défi de 4 hectares quelques part en Valais ou il fait si bon vivre ...
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